Thailande

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FAIRE DU BUSINESS EN THAILANDE

LA THAILANDE : Faire des affaires - un pays libéral (extrait d'un article du petit journal.com)

 

 

Selon un rapport de la Banque Mondiale, la Thaïlande est un pays où il y fait bon faire des affaires. Le royaume reste classé au 18ème rang mondial des pays les plus attractifs derrière Singapour, le 1er de la classe et la Malaisie 8ème.


Singapour et Hong Kong arrivent en tête du classement mondial établi par le rapport de La Banque Mondiale "Doing Business", qui mesure l’attractivité d’une économie pour la libre entreprise. Ce rapport couvre 189 pays (avec désormais la Birmanie) et passe à la loupe dix domaines : création d’entreprise, obtention de permis de construire, raccordement à l’électricité, transfert de propriété, paiement des taxes et impôts, commerce transfrontalier, obtention de crédit, protection des investisseurs, exécution des contrats et règlement de l’insolvabilité.
La Thaïlande conserve son classement à la 18ème place (la France passe du 34e au 38e rang). Le pays du sourire reçoit des satisfécits pour les critères suivants : la protection des investisseurs, la fourniture d'électricité et de traitement des permis de construire. Le rapport relève aussi les efforts accomplis dans la baisse des prélèvements sociaux à la charge des employeurs qui sont passés de 5 à 3% en juin 2012. La Banque mondiale se félicite également que la Thaïlande ait mis en œuvre au cours des huit dernières années 13 réformes concernant six des dix domaines clés.
En revanche, elle estime que le pays doit s’améliorer notamment  sur l’obtention de crédits et les mesures favorisant la création d’entreprises. Par exemple il faut compter quatre semaines pour démarrer une entreprise en Thaïlande contre seulement trois jours à Singapour.
Le classement de la Banque Mondiale confirme les tendances dégagées par celui du Morning Star, l’agence de notation américaine (cf www.lepetitjournal.com/bangkok)
Si un haut fonctionnaire, cité par Bangkok Post, affiche son optimisme en affirmant que la Thaïlande s’accordait deux ans pour enter dans le top 10 mondial, Kirida Bhaopichitr, l’économiste de la Banque Mondiale et spécialiste de la Thaïlande,
a insisté, lui, sur deux points faibles : la gestion des ressources humaines et la faiblesse du secteur des services

 

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01/11/2013
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